i5o PREMIÈRE PARTIE;
proche de plus en plus d’une certaine limite, et qn’ainsi sin A- u est
en général de Tordre bf* ; donc i — cos № est de Tordre (Z"“) 3 ,
ou M+ 1 ; donc la différence L^+ T —L/* est une quantité très-petite
de Tordre intermédiaire entre bv- et b^ +1 , mais plus proche
de ce dernier. On aura donc pour l’expression de L/* cette suite
fort convergente ,
JU
B 0 COSA) ¡213 (l—cosa')
(l -j-77) COS A ' ( l —T-77) COS A cosa'
/BO-oo^ +etc
1 f 1 1 . 71 i /»rtû > /'ANC y. y U * '
( 1 —f—7?) COS A COS a'cos A'
laquelle devra être prolongée jusqu’au terme
2 / “~ I fî ( 1 — COS A'“" 1 )
(i-f-71) cos A cos a'cos a"...COS //*
que les quantités de Tordre 2f*bf*
-- inclusivement , si on ne veut négliger
(91}. Cela posé, les transformées successives étant
H = (,+*-) H'+
' 1 ' * X-J-71 \/n
tt7 / , ru 1 l B " arc tang (\/ri sin <p')
H = (i-H ) H + •
etc. ?
on pourra exprimer généralement la fonction H par le moyen de
H>; et comme les séries sont prolongées jusqu’à un nombre de
termes jx suffisant pour que la valeur de soit donnée avec toute
l’exactitude nécessaire par la formule
B 1 “ arc tang
H" = (a*+ -^) log tang (45»+ir)- Vn ,
il résultera des substitutions cette valeur générale de H, où Ton a
fait pour abréger , F'= (i-j-Z»') (i-HO • 3