i5o PREMIÈRE PARTIE.
sur la division des fonctions elliptiques en trois espèces, s’il n’eût
pas été constaté que les fonctions dont le paramètre est imaginaire ,
peuvent toujours se réduire à celles dont le paramètre est réel.
(109). Il faut maintenant entrer dans quelques détails sur les résul
tats de la solution précédente.
J’observe d’abord que les paramètres —- m, — m sont tous
deux plus petits que l’unité, puisque d’après l’équation qui déter
mine £ , on a
¿ 2 ( 1 +0 2
1 — m = —
1 -j- COS 9 -f- V
En second lieu , si on substitue la valeur de Ç dans l’équation
m = , on aura
J/-* y
m — c 2 = 2c*h [h~{~ cos 6 — 2I1 cos G-J- h 2 )] ;
on aura semblablement
m'— c 2 = 2c 2 h \h-f- cos G -j- [/(1 ~\~2h cos 9 -f- h 2 )] ;
et le produit de ces équations donne
(m— c 2 ) (ni-— c 2 ) = — 4c 4 û 2 sin 2 Q ;
donc on a toujours m <c 2 et m'^> c 2 . Ainsi des deux paramètres
«—m, —m', l’un appartient à la forme —c 2 sin 2 Q, et l’autre à la
forme — 1 -¡- b 2 sin* G, de sorte qu'on peut faire m = c 2 sin 2 A et
m'= ï —b 2 sin 2 /a ; on peut aussi déterminer directement les angles A
et /a par les formules
sin A = -— cos 9 -f- h 2 )
ach sin 9
COS 4A = —T '
1 0 COS A
/
Les valeurs correspondantes de k et k' étant
k = ( c* -f- 2c z v cos G v 2 ) ^
k' = ( c* + 2c 2 v cos G + y* )
on voit que la première est négative et la seconde positive ; d'où il