DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. i.5 7
que 2ÎT (n°, c°) • celle-ci se trouvera par la formule de l’art, ici
parce que n° peut être mis sous la forme /ï°= —sin6 2 , en
faisant 0 = l ( rt — à) ; on aura donc
n* («% C -)=F‘W+èSs [^+F-( C ”)F(5%0)-E-(O")F(^«)
—F'Ce“)E{b°, fi)].
i —j“Z>
Or par les formules connues on a F 1 (c°)
F 1 O), E'0°)
—^ F 1 (c) -j- E‘(c) ; d’un autre côté on a aussi A8) =
4b
A£il!L = Ül+^: donc
^ Z 1 °2 cin Û PAC fi O h CITI > ^
II 1 (/z°, C°)
(i-f-b) 2 ’ 6 02 sin9 cos Ô sè sin A
1-fb Vl , (1+6) V
f 'M+ ( ^|>+£5 f 'WF(M)
-^e-( c )fcMH^) f, WE(*% S)]-
Il faut maintenant ramener les fonctions F (b°, 8), E(Z>°, 8) à un
module plus petit qui se déduira de b° suivant la même loi que c°
se réduit de c. Mais, si l’on n’y prenait garde, la notation pourrait
induire en erreur. En effet, la quantité b° n’entre dans la formule
précédente que comme complément du module c°, et non comme
une quantité déduite de b par la même loi que c° est déduit de c.
Cette loi exige que c° soitplus petit que c, au lieu que£% complément
de c°, est plus grand que b.
Pour éviter donc toute méprise qui pourrait venir de cette source ,
nous ferons b° = C, et nous désignerons par B le complément de C ?
de sorte qu’on aura B = c°. Maintenant il faut exprimer F (G, 6) et
E(C^ 8) par le moyen de F ( C°, 6°) et E (C°, 6°), ce qui se fera
par les formules des art. 6o , 6i, et en observant que la loi des
modules décroissans donne C° = ——^ = —j—- === b , on aura de
i-j-B i —c° y
eette manière les valeurs
F(C,S)
^F(C% 0°)=^ F (*, 0O )
E (C , 9) = - BF (C, 6) + 1±5 E(C% 0») + ’p?sin S°
= ~ (rÎ) F (M°) + ^ E (MO + «n 0=