i7o PREMIERE PARTIE;
cosinus linéaires , on trouve une suite de la forme supposée , dont
les coefficiens sont aisés à déduire les uns des autres. On a d’abord
le premier
ï -f- c 2
i 2 .3 2 , , i 2 .3 2 .5 2 ß , ] a .3 2 .5*.7 2 o , , .
° 4 + r>' / a <? 4- /-.■c.'i c 8 4- etc.
s 2 .4 2 1 a 2 .4 2 .6* ~ • ■ a a .4 a .6 a ,8 1
Je le représente par
A = i -f- »/^4-^4- /Ac 6 4- w v c 8 4-* etc. ;
les autres seront successivement
B =
C =3
D ;=
E =
etc.
- /Ac*4-1 //¿"c 4 4" 7 /Ac 6 4*
a 3 4
3
3 2
| m Iv c 8 4- etc.
I. imV 4" 7 • 77 /AV 4- ~. — /// lv c 8 4- etc;
ob 4 i° 5 i2 1
32 2,„,,/3 4
7*T^*7s mc6 + ^ , — WÏŸC 4- etc.
4 10 10 5 12’ 21 '
4 3 4 3 a
. _ . w'V 4~ etc.
5 12 21 32 1
En général la des quantités C, D, E, etc., se déduira de la
précédente, en omettant son premier terme, et multipliant les termes
suivanspar ceux de la suite -—-—r-~—;—~. — etc
1 (n.+i)(2n4-2) , (n-f i)(an+3)’ Oî+ l )(2«4-4) > eiC *
On pourra donc par ces suites, trouver les valeurs de A, B, C, etc. ,
si le module c est une quantité assez petite; mais lorsque c diffère
peu de l’unité, il faudrait calculer un grand nombre de termes pour
n’avoir qu’une médiocre approximation.
(121). La valeur de — étant multipliée successivement par Ap,
dq> cos 2(f>, d<p cos 4<p, etc. , puis intégrée depuis q> = o jusqu’à
<P =
« ?
on aura
A
= r
dtp p Tr Ç' dtp cos 2<p
2 J
A * ‘ 2 J A
2C
= r
dtp cos 4<P ¡r n w
2 J
A ’ ° U - * J
dtp cos G<p
A
etc.
Ainsi chaque coefficient peut se déterminer en particulier par une