1 7 2 PREMIÈRE PARTIE.
n{p.n — i) A" = (2n— 2)* A”“" 1 —(n—2) (2n — 3) A*~* :
c’est la loi suivant laquelle chaque coefficient, à compter de D, peut
se déduire des deux précédens. Le coefficient C , excepté de la loi
générale, se détermine par l’équation 6G = 4R — 1 — 1 A , ou
plus directement par la formule
6C
A
/ C Q0 C 00 C° 00 Oft c OOO OOOO V
C“ (1 + - + — H — + «le.)
.,00 / r ooo r ooo' r oooo \
+ -VO+V+ L A- + etc ->
Lorsque c est fort près de l’unité, on déterminera E 1 et F 1 par les
formules qui conviennent à ce cas, 011 en déduira les coefficiens A
et B par les formules ^ A = F 1 , ^B = ~ (F 1 — E l ) — F 1 , on calcu
lera ensuite C par l’équation 6C = 4B — A ; les autres
se déduiront chacun des deux précédens par la loi générale que
nous avons exposée ; et cette loi sera d’une application d’autant plus
sûre, que le facteur — — 1 se trouvera, dans le cas dont il s’agît,
peu différent de l’unité.
(122). Les fonctions elliptiques de la seconde espèce pourront se
développer de la même manière. En effet, si on considère généra
lement la fonction G = /(&-}-£ sin fl p) ~, ou, ce qui revient au
y
même , G = /(a'-f-£'c os 2(p ) , les formules précédentes don
neront
G — a! [A<p — B sin 2(p —{— G sin4^— D sinG^-f-etc.]
—(^±2i)sin 2 ?+?^ s m4(p—(î5±i E )sin6î>+elc.q
Ainsi ce développement ne présente aucune difficulté nouvelle ,
et s’exécute par les mêmes coefficiens que celui des fonctions de la
première espèce.
On peut traiter de même les fonctions de la troisième espèce.