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PREMIÈRE PARTIE.
Une pareille simplification aura lieu en général pour la formule
r ( yx-— et ) dx
(yx* -j- ex 2 -j- et j pq * ~h + yx x ) *
( yx-— a. ) dx
-f- ex 2 -j- et J et 4- Çx 2
car si on fait le radical yx*) z=px, cette formule
deviendra j q~t~ > réduction fort remarquable et analogue à
celle qui sert de base à la formule du n° 46.
L’integrale Í 3- — que nous venons de déterminer
dans ses deux différons cas, se trouve mentionnée, page 116, dans la
liste que Fuss a donnée des ouvrages d’Euler; mais le mémoire qui
la concerne n’a pas encore été publié. Nous avons voulu faire voir
par un exemple aussi remarquable , que la théorie des fonctions
elliptiques conduit d’une manière sûre aux expressions les plus
simples des intégrales qui s’y rapportent.
(144). Indépendamment des deux cas dont nous venons de parler,
il y en a un troisième où l’intégrale Z ne dépend que des arcs de
cercle et des logarithmes. C’est celui où l’on aurait
intégrale qui se rapporte à la formule générale du n° 13g, en
faisant v z=z 1, /x — jet a 3 = — 4’ O n 116 saurait alors éviter de
rencontrer dans l’intégrale P des fonctions elliptiques dont le pa
ramètre est imaginaire ; mais la réduction de ces intégrales conduira
à un résultat entièrement indépendant des fonctions elliptiques.
Nous n’entrerons point dans le détail de ces réductions, et nous
nous bornerons à prouver par une autre voie , que l’integrale Z peut
être déterminée par les arcs de cercle et les logarithmes.
Pour cet effet, soit 1 ~\~z % = 4./% on aura la transformée
Mais si on considère l’intégrale
i/3-\ZC4f-O ’
sy \/J5 t 2 dt
y yy
dt tdy
donc
c*-o T