DES INTÉGRALES EULÉRÏENNES. a5i
que es par Lagrange dans les Mémoires de V Académie de Berlin,
an. 1775.
(9). Voici maintenant quelques formules particulières qui mé
ritent d’être citées. De l’équation (e) on déduit les deux suivantes,
(P\ . (...P + l \ _ ( P \ .
\q/ \n—p — qj \n-~p — q/ \ q J 9
( P \ . CHZLî\ = (-l—\ . ( - ^ •
\n — p — qj \n—pj \n—pj \n—p — qj 7
multipliant ces deux équations entre elles , et mettant dans le pro*
duit les valeurs connues par les formules (c) et (d) , on aura
(a). (i=£) = (p) ;
\q/ \n — q/ (« — p — q)èin p» sinqa
d’où il suit que la valeur de (~~) se déduit immédiatement de
celle de qui est en quelque sorte son complément. On a
en particulier,
......(q).
a \ /n — a\
a J " \n — aJ
20 cot av
n—2 a
Ainsi connaissant les valeurs de lorsque a n’excède pas in ,
on en déduit les valeurs de ^ ) lorsque a est plus grand
que i n.
(10). Pour examiner plus particulièrement les fonctions de la
forme ( “ ) j reprenons la valeur primitive de ces fonctions ,
laquelle est
©=
si l’on fait
1—ou oc n z=i±:i y'Çi —g"),
la transformée sera
h
x a l dx
V/0 — x n y~ a