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SECONDE PARTIE.
tions (e) et (p), on a
/n—9,a\ / sa \ / a \ .
\ a J ' \n — a J \a sin 2 au) 3
©•ô=fc^)-e)-
a sm aoo
done (î) = 2 cos acà . ou, en substituant la valeur donnée
par l’équation (v) ,
2 n cos aoù
r z a
'J Vil
z a ~'dz
«•
Cette formule n’a lieu que lorsque a est *< ^ n ; si a est , on
commencera par prendre la valeur de } laquelle sera
’ z n ~ a ~'dz
/n — a\ — . r
( ) = 2 ft cos (n —■ a ) où . /
\n — a J ' ' J V(\+ z )
et on en déduira celle de au moyen de l’équation (q). On aura
ainsi, a étant > { n :
©-
sa — n ’ sin aw J V C 1 + Z>1 )
• CJlI
Vl/O
n ~ a ~ l dz
(y)-
(14). Si l’on compare maintenant les équations (r), (x) et (y),
on en tirera les formules
r x a ~'dx r z a
/ —77 rr = cos aœ , / -77-
J RC 1 —O J Vi l
/ x a ~'dx 2Ci , Ç z n ~
vu — x n ) (2a—ra) sin a« * J R(i +2.”)
~ x dz
+ z, n )
z n-a-xd z
( Z )>
la première ayant lieu lorsque a est < \ n , et la seconde lorsque a
est >7/2.
Lorsque n est impair, si on fait dans la première équation ,
x = 1 —y* et z — 1 , les formules intégrales comprises dans
les deux membres se réduiront Tane et Tautre à la forme
Â
( l —y*Y 1 ¿y
/ / n. n 1 „ . n , n 1 . n 2 , \
V C“ “ +- 1.2.3 " y* - etc )
1.2