2*58- SECONDE PARTIE,
cas la formule (d f ), il faut qu’on ait
log ( 2 sin Oû ) log ( 2 Sin 2Ct) ) -f- log ( 2 sill 3ct> ) . . . .
rh log £2 sin —- Ij Ci) J = (1 -f- \ COS Ü/7C ) log 2 — 4 log n y
ou , ce qui revient au même, en passant aux nombres, et supposant
soit n = 4/ > soit « = 4^ + 2 ,
sin 0) sin 3® sin 5«..... sin ( o.i — 1 ) a __ // 2 \
sin2-U sin 4« sin 6ft). ., .sin (nia) ' y \n/
Cette formule est facile à vérifier au moyen de la valeur de sin nz
donnée par Euler dans son Introd. in anal. , pag. 204 ; car en faisant
successivement dans celte valeur, 2 infiniment petit, et nz — ^/rt r .
on en tire
* . n 1— ra
sin Ce) sin 2Ce) sin 3ie). . . . sin - CÜS= 2 a \/Il ,
2 r J
sin Cù sin 3Ce) Sin 5ce)..... sin ( 2i I ) Cù = 2 4 £
. . , 7î n—2
2î étant - ou
, selon que n est de la forme 4} ou 4i~h 2 > ett
de là résulte l’équation précédente.
(3y). Ayant l’expression générale de B a , on en déduit celle de
■Kl) , au moyen de l’une ou l’autre des formules
4(4) =
R •+-?-« +
+©
(•■)
B B
p + q — n
là première ayant lieu lorsque p -f- q est <C «, et là seconde lorsque
p ~j- q est >- «. En cas d’égalité , on a simplement 4 (~ ) =B p .
Ces valeurs qui sont déduites des formules (a*) et (b*) peuvent
aussi être mises sous une seule forme générale, qui est
4 (f )-/F£F) «
ce qui prouve immédiatement que la fonction 4 est toujours