Soit donc
DES INTÉGRALES EÜLÉRIENNES. a 7 3
- C dz log - = P° ,
^ J'u^dz log ^ = P',
\f Mz Iogi = P',
etc.
ces integrales étant prises depuis z=.o } jusqu’à z = i , et on
aura
i P' i P" i P'"
(5i). Pour avoir maintenant les quantités P% P', P ff , etc. j’oh~
serve qu’on a en général
J'u^dz log ÿ = logj; Ju im dz f* ^ • J'u^dz.
Dans cette formule nous supposerons que l’intégrale fif m dz est
prise de manière qu’elle s’évanouisse lorsque z = i ou u = o,
alors la partie ]og^ fu im dz s’évanouit aux deux limites de l’inté
grale, et on a simplement
3 fi“dzlo%'~ — \f y fu“dz =f— ~fu™dz,
où l’on voit que les logarithmes ont entièrement disparu, et qu’on
ne doit plus tenir compte que de la relation == i — z*.
On a d’ailleurs
fi™dz = - 2 ^-- f¿ 2W *dz + —— ;
J i J am -f i J
dz
multipliant de part et d’autre par — et intégrant, on aura
p(m) __ üm pCm-0 ru™-'zdZ'
tira -f- i J sm-{~ i
2 m +
Or zdz~—~udu y et par conséquent
'u zm ~ a zdz C u* m ~'du
/ u* m ~*zdz r u 2m ~ 1 du u 2m r
2m+l J 2/n+X (2/n-j-i) ani '
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