DES INTÉGRALES EULER1ENNES. 587
Si ci est compris entre 2 et 3, V (a) se déterminera par l’équation
T (a) — (a— i)r(a— 1). Si a est compris entre 3 et 4, T (à) se dé
terminera par l’équation E («) = (æ-— 1) (a— 2) r(*z — 2), et ainsi
de suite.
(65). Au moyen de cette table, il sera facile d’évaluer dans tous
les cas la transcendante (J-') qui répond à une valeur donnée de n.
Pour cet effet, les équations (A) étant mises sous ces deux nou
velles formes.
(S)
n
<*+ E »> r 0+O
pq
г /р + <Л
\ n /
p+q
r 0+0- r ( ,+ 0
РЯ
on fera usage de la première, si l’on a p -J- q > n, et de la seconde
si Г011 a p -f- q << n.
Soit proposé , par exemple, de trouver la valeur de la trans
cendante Ъ = ( I) lorsque a = 10; on se servira alors de la première
formule, qui donne
rj Г (1 .Зсо) Г (1.800)
J a.4 Г(1.100) *
et à l’aide de la table, on trouve immédiatement
log Z s== 9.5635972 , et Z = о. 5660979,,
(66). Cherchons maintenant la valeur de logF(i -f-Æ), k étant
supposé très-petit. Cette valeur pourrait se déduire de l’interpo
lation des trois premiers ternies de la table ; mais il sera plus exact
d’interpoler des termes moins rapprochés, afin que les différences
secondes deviennent plus sensibles. Considérons pour cet effet les
trois termes qui répondent aux valeurs <2=1.000, æ=i.oo5,
a = 1. o 1 o ; on en déduira les différences premières et secondes,
comme il suit :