I)ES QUADRATURES. 353
® («) désignant la suite i + ^ -f- -.g ; + etc., nous en de'dui-
rons , en changeant simplement le signe de et,
fx~* e —x ( l æ — ~ y'(2e7t). <Ê> (-— et).
Multipliant ces deux équations l’une par l’autre, et observant que
par la propriété de la fonction on a <D(a) x O (—a) = i, il
viendra
fx A e X dx x fx a e X dx = 2A7iÇ— i)~ f
équation par laquelle on déduira généralement l’intégrale fx~*-e-~ x dx±
dont les limites sont imaginaires, de l’intégrale fx*-e~~ x dx 9 dont les
limites sont réelles.
Cette dernière intégrale est représentée par F(a-{-i) , et on a
F (a-f- i) = ocT(a); donc si on désigne par T'Ça) l’intégrale
fx~ x e~" x dx dont les limites sont imaginaires, on aura
r'O)
s» c— o
n»
(0
(5g). Dans le cas particulier où et est un nombre entier, on a
T (a) == i.2.5 (a — i ) ; on aura donc dans ce même cas ,
r(*)
2 TT (— I 1
1.2.3 a—l
ce qui donne successivement T r Çi)e=z—2rt\/—i, V
rç 5) =
S TT \/ — 1
1.2
,r'(4)
25T \/~
1.2.3
i,U(5):
'27T \/ 1
1.2.3-4 9
etc.
Si on fait et = \ ( car la formule trouvée étant indépendante des
suites, n’est plus assujétîe aux conditions qui concernent la conver
gence de ces suites, et elle suppose seulement et positif)., on aura
F' ( \ = 2 ; d’où l’on voit que F' ( | ) est réel et double
* \i)
de r(|).
Il est remarquable que F'({) et F(£) représentent toutes deux
l’intégrale fx * e~ x dx ; mais la première est prise entre les limites
imaginaires qui rendent nulle x *e~ x , et la seconde est prise entre
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