DES QUADRATURES; 56 7
On aurait semblablement
_ (^ 2 A'— 1 Z" i+ararN
Z(—£— i) —f{x v. 2 3 )dxe \*nx ) .
donc Z (— k—i ) = Z (Æ).
(55). Euler, dans le tome IV des Supplémens au Calcul intégral,
pag. 4*5, fait mention des intégrales
qui lui semblent ne pouvoir être ramenées aux méthodes connues.
Cette difficulté est résolue par les formules précédentes qui donnent
z 2 )=C 1 ) = (■+«)«“" v/(S)
.B=iz(-.) = iî«=r^,
A
d’où g- =r=i -f- n. Le même auteur ajoute que si on ne peut pas
trouver séparément les valeurs de ces deux intégrales, ou connaît
au moins leur rapport, savoir,
A _ i -f e n
B 2*
1—e ?i
Mais il y a évidemment erreur dans les calculs qui ont conduit
à ce résultat, puisqu’il donnerait une valeur négative de tandis
que A et B sont positifs.
Des intégrales j r A a- “ I e“ mx dx cos nx , yx a “" I e"“ mx dx; sinnx,
prises entre les limites x — o , x = oo.
(54). Nous supposerons que a et m sont positifs, condition né
cessaire pour que les intégrales dont il s’agit soient des quantités
finies. Pour en trouver les valeurs, considérons d’abord la formule