DES QUADRATURES,
donne F Ça) = ~, on aura
f ÉA e— mx cos nx = oo f
r dx . /\
J — e— mx sm nx — ü = arc tang
56g
(4)
Si dans cette dernière on fait m= o, on retrouve la formule
du n° 4^.
Les intégrales dont nous venons de nous occuper se trouvent
dans le quatrième volume du Calcul intégral d’Euler, pag. 537 e *
suiv. Elles ont été limitées aussi par Laplace, dans le tome VIII
du Journal de l’École Polytechnique, pag. o.\\ et suiv.
(56). Si on différentie par rapport à a les formules (i), on en
déduira
fx a -'e~ m *dxcos nx! 0g x = ?- 8 +7 S ° 8 ~)r(g)
/x»-^-"“^sîn«xiog^==^.^+( 9 --—;j ng9losr )r( a )
La nouvelle transcendante ^7^ qui entre dans ces formules, peut
se trouver d’une manière approchée par les tables ; on a aussi sa
valeur en séries convergentes par les formules du n° 76, II e partie.
Si de ces deux dernières équations on élimine y on en tire
ce résultat remarquable :
j3C a ~ l é~ mx dx sin (æ9 — nx) log~ (a), (6)
et en particulier lorsque a = 1,
fe~ mx dx sin (6 — nx) log j (7)
formule où l’on a tang 9 = - et r = {/(m*■+■ «*),
4l