42 PREMIÈRE PARTIE.
donc P = c 2 sin }x sin <p sin ^ sans constante , parce que P doit s’éva
nouir lorsque q> z=z o.
Ainsi pendant que les fonctions elliptiques de la première espèce
ont entre elles la relation F (<p) -f-F (aJ,)— F (/x) = o , les fonctions
correspondantes de la seconde espèce satisfont à l’équation
E(<p)-f-E (4) — E (/a) — c 2 sinjx sin p sin 4. . . ,(c') :
c’est la formule générale qui servira à comparer entre elles les
fonctions de la seconde espèce , comme nous avons comparé celles
de la première.
Si l’on considérait plus généralement la fonction G (<p) composée
de la première et de la seconde espèce, savoir,
= E (<p) + № (<p),
li étant un coefficient constant quelconque, il est vîsiîole qu’on aurait
semblablement
G (<p) ~h G — G (fc) = c 2 sin jx sin <p sin ^ ;
de sorte que toutes les conséquences qu’on tirera de l’équation ( c')
pour les fonctions E, s’appliqueront généralement aux fonctions G.
(52). Désignons comme ci-dessus par<p u , <p 3 , <p 4 , etc. les ampli
tudes qui donnent F (<p.) == 2F (<p), F (<p 3 ) = 5F (<p), etc. , on aura ,
en vertu de Féquation (c),
sE (<p) “—E (<p # ) = c a sin (p sin(p sin (p a
5E(<p) — E((p 3 ) = 6* 2 sin (p ( sin <p sin <p % -f- sin <p 3 sin<p 3 )
4E ((p) — E ((p 4 ) = c 2 sin cp (sin (p sin ip 2 -f- sin <p a sin <p 3 + sin <p 3 sin
etc.
Donc la même relation entre <p n et <p , qui donne F (<p„) = nF (<p)
donnera «E ((p) — E ((p„) égale à une quantité algébrique.
En général, si m, n 9 p, etc. sont des nombres entiers positifs ou
négatifs , on peut faire ensorte que