PREMIÈRE PARTIE.
— i et — c* ; en d’autres termes cl sera positif si le paramètre n
est de l’une des deux formes n-=.cot a ô, « =— i -{-¿ a sin a ô. Alors
l’e'quation (f' ) contiendra un arc de cercle réel, et par celte
équation on ramènera l’une à l’autre les deux fonctions II (h) ,
Dans ce premier cas, si l’on fait <p scs \ rt > on aura entre les fonc
tions complètes cette relation
П
■(»)+ п '(т)=г , +
7Г
%\/л
(48). Si Гоп fait et = о, on aura n = — i ou n c=s — c % , alors
l’intégrale J'se réduisant à p, l’équation (_/' ) devient
П(— .)+П(— c’) = F +
Ce résultat est facile h vérifier ; on a en effet parles réductions déjà
connues,
n(-
П(-
)=/;
*)=/:
d<p
A cos a <p
d<p i
Д 5 ’ F
F —
E —
¡¡Е + ^Д tang (p
sin <p cos <p
~~¥Â *
et la somme de ces deux quantités se réduit à F + —^
La fonction IT (— i) qui se ramène immédiatement aux fonctions
de la première et de la seconde espèce , est celle qui donne la
rectification de l’hyperbole (art. i3). Elle a une valeur infinie lors
que (p = 4 tT , parce qu’alors elle représente la longueur totale de
la courbe jusqu’à son extrémité infinie ; et c’est aussi ce que donne
la formule précédente; mais cette formule serait en défaut si on
voulait faire <p > | rt ; elle semblerait donner une valeur finie pour
Il (— i), tandis que cette valeur , composée de la partie où <p = ±rt
et d’une autre partie, est nécessairement infinie. C’est du moins
ce qui parait résulter de la formule intégrale O (— i) considérée
en elle-même, et sans rapport à aucune courbe ; car nous suppo
sons toujours A positif.
(49). Il reste à examiner le cas où л est négatif; ce cas aura lieu