PREMIÈRE PARTIE.
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plètes la relation
rr ( c' sin* 0) +rr ( ¡¿-j) — V,
où l’on voit que les logarithmes ont entièrement disparu.
J’observe sur cette dernière équation que la fonction 1I(—c* sin 2 9),
, est nécessairement plus
dcp
qui représente l’intégrale^ c . ^ , éa , ?) A
grande que J ~ ou F, et qu’ainsi 11* (—c 2 sin 2 ô) est plus grande
que F 1 ; l’équation précédente ne peut donc subsister à moins que
IP ^— ^A-^ne soit négatif. Or, ce résultat s’explique facilement par
la nature de la fonction II Ç— ^A-^ qui est positive depuis <p = o,
jusqu’à <p=9, et négative depuis <p=ô jusqu’à <p = il faut par con
séquent que la partie négative soit plus grande que la partie positive.
(5o). Au reste pour éviter toute anomalie étrangère a Vobjet dont
nous nous occupons y et pour ne considérer des fonctions 11 que celles
qui sont positives et finies , nous ferons abstraction , dans tout ce
qui suit y du cas où le paramétré n est à la fois négatif et plus grand
que l'unité.
Si ce cas se rencontrait, on pourrait, au moyen de la formule de
l’art. 49 ? réduire la fonction proposée U Ç—¿ô) a f° nct * on
PI (—c* sin 2 9 ) qui n'est sujette à aucune difficulté ; l’anomalie tom
berait alors sur le terme logarithmique joint à cette fonction.
Cela posé, les fonctions II , eu égard aux diverses valeurs du pa
ramètre , se rapportent à trois cas principaux qui exigent des déve-
loppemens particuliers.
Premier cas. Si le paramètre n est positif, on pourra toujours lui
donner la forme n cot 2 ô , et on aura alors i/ct ;=
J r Sin 0 COS 0
sin Ô cos Ô”
Second cas. Si le paramètre n est négatif, mais qu’il soit com
pris entre — i et — c 2 , on pourra le désigner par la formule
7 . A , . è* sin Ô cos ô
n — — i -f- b 2 sin 2 a , et alors on aura y cl =
P sin 6 cos 9
MM) ’
y{ l — à 2 sin 2 Ö )
Troisième