9°
qu’on aura
PREMIÈRE PARTIE.
F /0 = ^( I + c °)( I + c ° ,> )( I + cOOO )> etc -
Le produit constant (i -f-c° )(i-f-c° 0 ) (i + c 000 ), etc. que nous
représenterons par K, peut aussi s’exprimer de cette manière ;
K
2 \/c 000
C°° ’
etc.;
et sous cette forme il est aisé à calculer par logarithmes. K. étant
connu, on auraF(c, q>) = KO et F 1 (c) = K.^.
Pour faciliter le calcul des modules décroissans, on déterminera
un angle auxiliaire /a par l’équation sin/A=c, ce qui donnera
b = cos¡/j et c° =tang* ± /jl. Faisant de même c° = tang a ^/A = sin/A° 9
ce qui déterminera un nouvel angle /a 0 , on aura c 00 = tang 2 1 /a°°, et
ainsi de suite.
Lorsqu’on sera parvenu à un c fort petit, on pourra, pour éviter
les angles trop petits , calculer le terme suivant c° par la formule
i « i i.3 ,
: 4 +4T6 c
1,3.5
4.6.8
c 6 + etc..
dont le premier ou tout au plus les deux premiers termes suffiront.
Quant au calcul des angles <p°, <p 0 °, etc., nous n’avons rien à ajouter
à la simplicité de la formule tang ( <p° — <p) -=.b tang <p , qui est très-
propre au calcul trigonométriqué. Nous rappellerons seulement ,
ce qui a été dit art. 6o , que l’angle (p°— <p est presque égal à
lorsque c est très-petit, et qu’en général sa différence avec <p est
moindre que l’angle qui a pour sinus c. Il faut donc prendre pour
l’angle <p°— <p, non pas toujours le plus petit angle que donnent
les tables des sinus, mais celui qui approche beaucoup de ®, et qui
peut être de plusieurs circonférences.
EXEMPLE.
(66). On demande la valeur de la fonction F(c,<p), lorsque
= ï /04-/5) = sin 7 5 9 et tang <p =