QUATRIÈME PARTIE. SECTION IL 99
(99). Soit V ==2 a (i + z) —r , on aura, en diffërentiant cette
fonction
1xr , v z a ~'dz; rz a ~'dz
dV — (a — /’) ( l+2 ,y “H
Intégrant de part et d’autre, et observant que V s’évanouit dans
les deux limites z — o, 3=00, pourvu qu’on suppose « positif
et <r, on aura cette formule de réduction :
/ z a ~ l dz r — a Г z a l dz _
(T+iÿ^ — “7“ J (Й^Т ;
d’où l’on tire successivement
’ a ~'dz 1 — a Г z^'dz i — a
1 * J 1 -\-z ~~~ 1 * si
P z a
J Ô
7Г
+zy
a ~'dz
sin a%
/ :z a ~'dz 2— a f* z a ~'dz i—a. a—a
CHhô 5 J 1 - 2
et en général, r étant un entier quelconque,
/ :z a ~ l dz 1—a. 2—a. . .r—i—a rr
(I-f.¿y 1-2 r—1 * sin Ott
Mais par la propriété des fonctions F, on a
1—<2,2 —a.3—a. . r—1—a r(r—a)
1.2.3 .?•—x ’ rrr(i—a) y
sm artr
et d’un autre côté, = F«F(i—a); la formule précédente se
7 sxn arc K i
réduit donc à cette forme très-simple :
№
/
z a ~'dz ГйГ(г—d)
(i+zÿ fr
Par cette transformation, la formule a acquis un plus grand degré
de généralité et doit avoir lieu quel que soit le nombre r; elle
ne suppose même plus qu’on ait a < 1, mais seulement qu’on
a a < r.
(100). Il est facile de parvenir, par une autre voie, à celte