QUATRIÈME PARTIE. SECTION II. ioi
si l’on fait r— i, ces équations donnent les deux suivantes:
f
' z a 'dz(i -f- cz cosò)
i + 2CZ.C0S ô+cV
z a dz
sm a?r
si naô
i + QCZ COS A + C 2 £ 2 sin ÎZîT * sin fl 9
mais j’observe que la première n’est qu’une conséquence de la
seconde ; ainsi on peut s’en tenir à celle-ci, et faisant c— i, ce
qui ne diminue pas sa généralité, on aura la formule
(/)
h
z a dz
sin afl
(z ~ o
1 a — oo
+ 2£C0Sfl + a 2 sin an * sin fl ’
Cette formule suppose a<C,i ; si on change le signe de a elle donne
z~ a dz ?r sinaâ
h
l Z = O
\ Z == 00
-f-2acosfl-|-a 2 sin ott * sinfl 9
ainsi l’intégrale conserve la même valeur, et c’est ce qu’on trou
verait immédiatement en mettant - à la place de z dans la for-
mule (/).
(io5). Considérons maintenant l’intégrale comme
composée de deux parties, l’une depuis z=o jusqu’à zz=i } l’autre
depuis z= i jusqu’à z= oo : il est aisé de voir que cette seconde
partie est égale à la première; car en mettant ^ à la place de z,
l’intégrale reste la même, au signe près. On a donc cette autre
formule, qui suppose æ<i :
(x a -f- x~ a )dx 5r sinaô
-j-2X cos A “\~ x
(io4). Si l’on multiplie par ¿¿ôsinô les deux membres de l’é
quation (f ), et qu’on intègre par rapport à ô depuis ô=o, on
aura la formule
(*) /V-’&iog (-
£8
!&9