CINQUIÈME PARTIE. § Y. 20r
première équation la valeur de M2; par la seconde, on connaîtra
la valeur de S 3 et N 3 , puisqu’on a d’ailleurs N 3 = -■ 5 1 S 3 . On
connaîtra de même, par la troisième équation, la valeur de M 4 ; par
la quatrième celles de N5 etS 5 , puisqu’on a N s = -■ S 5 , et ainsi
de suite. Il serait peut-être difficile de trouver des moyens plus
simples pour calculer , par des suites convergentes et régulières , les
valeurs des transcendantes S (2Æ-f-1) et M {2k).
65. On pourrait rendre encore plus convergente la formule em
ployée pour ces calculs; car si l’on fait
A
B
• 7 +
1 +
m-j-2 ’ 4 1 ?n+4 * 4 3 m+6 * 4
S2—1 i S4—i 1 . S6—1 1
m
2—1 i 04—1 1 . db—1 1 .
i-f-2 ’ 4 m-f-4 * 4? ^+6 ' 4 5 ‘ e C ’ 9
on aura
(16)
fx m dx cot I x = (2 — A — B ).
La suite B est fort convergente, puisque chaque terme est moindre
que la 64 me partie du précédent : quant à la série A, elle est facile
à calculer jusqu’à tel degré d’approximation qu’on voudra ; mais
on pourrait aussi trouver sa valeur en logarithmes, par l’intégrale
mJr 'dx
x 2
prise depuis x = o jusqu’à x = ^.
66. Revenons maintenant à la formule (6) et supposons que
l’intégrale j* osl 9 < î ue uous désignerons P ar £% s °i t prise
depuis x = o jusqu’à xz=tt. Il résulte de cette formule que si on
fait pour abréger,
F(«) = cos0 + ^ +
G (») = cos0 - ^ +
l’intégrale P" 1 aura pour expression
cos 36 , cos 4ê
3^ "**' TL
cos 39 cos 49
~~W l ~4 r ~
—}— etc.,
—}— etc.,
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