CINQUIEME PARTIE. § VII. 227
mettent j pour abréger, 4> 4^ au lieu de 4 ( a )> («),
(4) 400 = 4—Jî* +' + Ç ■ - A • + etc. :
c’est la formule connue de Lagrange qui donne lieu à un grand
nombre d’applications pour le développement des fonctions et le
retour des suites.
Corollaire IL
g5. Si l’on a <p (x) = 1 , ensorte que l’équation proposée soit
F (x) -hj- = F (a),
et qu’on fasse, pour abréger, — ; ou = A, on aura
(5) 4 (Æ) = 4_ 7 A4'+>-.^-^.^^ + eto.
Cette formule est déjà connue des analystes ; elle peut servir à
résoudre, par approximation, une équation quelconque F (x) = o ;
car si a est une valeur approchée de x, et qu’on ait F ( a ) =jr ,
j étant une quantité assez petite , la formule précédente donnera
la valeur de 4 ( x ) exprimée par une suite convergente.
Corollaire III.
96. Soit proposé l’équation a = x(x)-f-jr 2 A(x), dans laquelle
<p (x) et A (x) sont deux fonctions données de x. Pour avoir la
valeur d’une autre fonction 4 (¿0? développée suivant les puissances
de jr, il faut, dans la formule (1), substituer^ (a) -j-yA. (a) ou sim
plement <p -j-jpA à la place de <p ; on aura d’abord
4( æ )=4 —-j(<p +jta)4'+x .
y 5 dd(<p+yx) 3 V
2.3' da 2
etc.
Développant les différons termes et ordonnant toute la suite par
rapport à j , on aura