CINQUIÈME PARTIE. § X. aSS
Si dans la formule générale on fait ;n = n, on aura, lorsque»
est pair,
C'Y n '\ n rhr n ' n 2 ' ra ^ 2
J /1 —f- 1 -n-j- 3.71 + 5. . . .271 + 1 3
et lorsque n est impair,
ÇxfX'dx = ”T~ ■ ■■ n ~ f ' •j-.-.
Ces deux cas sont compris dans la formule
fx n \ n dx = 1,2 \ “ ?i ,
J 1.0.5,. . .2/1 + 1 7
ainsi que nous l’avons déjà trouvé dans l’article précédent.
i2Q. Si on veut exprimer la puissance x n par le moyen des fonc
tions X", X n ~ a , X" -4 , etc., on y parviendra aisément de la manière
suivante. Soit en général
æ n = æX" -f- ¿>X" —a -f- cX H ~ 4 -f- etc. j
si on multiplie chaque membre par X. n dx, et qffon intègre de part
et d’autre depuis jc~ o jusqu’à x = i , on aura, en vertu du
théorème II, fæ n 'K. T ‘dx = af\ n li_ n djc ; or le premier membre
, et le second
1.2.3 71
i.3.5 2/î —j— i
1.2.3 71
; donc
a
1.3.5 ... .271
hn + i
S-4- 6 n —
271—1.271—3 . . . 71 + | qr
On aura de même, en multipliant par X" z dx la valeur de x n et
intégrant, fx n lL n ~ :i dx = h /’X n—2 X n ~Vér = ——+ Mais le premier
membre
4.6.8.
271 1.271 3.27i 5 71 +
| 1 y 271 3
3 _+ ; donc ¿>= «
on
a —H a
trouvera de même , en multipliant par X" 4 Jx , c
071 1.271 7
2.4
et ainsi de suite. La loi de ces differens termes est facile à saisir, et
on trouvera en général qu'en faisant A.— n 3 ~ 3
on a
te)
271+1.2/1 1 .271 3. • .71+1+ i’
-x" = A^(2/z-{-i)X 7, ~f- (2/2—g)X n ~ a +- —■ —- (s;z—y)X n ~ 4
, 2 «+. .an— , 2 „-3 ( 2B _ I j) x ._ s+ etc _y
2,4.6