258 EXERCICES DE CALCUL INTÉGRAL.
donc la fonction Z satisfait à l’équation aux différences partielles
ddZ
(l — X 2 ) ^ — — dx ~r - dz
que l’on peut mettre sous cette forme
d.{ i —x 2 )dZ . d.z 2 dZ
dZ , 2 ddZ . dZ
2X—-h Z z -f- ^ = O ,
(A)
+
dx' 2 1 dz 2
Si on substitue dans celte équation, au lieu de Z, sa valeur dé
veloppée
Z = i + zX 1 + z a X a + z 3 X 3 + z n X n + etc.,
le coefficient de z n , que nous désignons par X", satisfera en général
a l’équation différentielle du second ordre
■ dx . !“»(» + i)X" = o,
ou
(0 c j ~ x )—.— 2x -nx+ n («+e x =° :
c’est ce qu’on pourrait vérifier immédiatement par la valeur géné
rale de X" que donne l’équation (a).
i34- L’équation précédente donne, par des différentiations réi
térées
0—*■ ) ITT — 4^ -^r + («—0 («+ 2 ) =
dx 2
, r æx n , , w , „.d 2 x n
C >—* ) -dIÏ- &X H^ + C"- 2 ) ("+ 3 ) ~dx?~° ’
et en général on a entre trois coefficiens consécutifs de la fonc
tion X", cette équation,
laquelle peut se mettre sous cette forme:
H
d (i —x 2 ) r d r X n
dx r+ ‘
+-(«+;•) (n—H-i) (i— ^ 2 ) r T
d r -'X n
dx r ~ l
O.
i55. Théorème VL « Les indices m et n étant inégaux , l’in-
)) tégrale J~ —j-~r • (i —x 2 ) r doc j prise entre les limites jc — —i,
« x = + 1 ? sera toujours nulle ; si ces indices sont égaux , on