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CINQUIÈME PARTIE. § XL
par la differentiation,
E 1 {x)
(1 — xx)
( 1 — xx) 2
m. m— 1
d¥°
dx 9
dd¥°
dx 2 9
(1—,rx) 2 d 3 F®
m.m—1 .m—2 ‘ da? 9
F* ('x) rr:
s
(1—xx)* d k F 0
771.771—1 m—&+i * dx k *
144* H 11 e reste plus qu’à déterminer la constante a", pour que
la valeur L m ’* = a"Y k (æ') .F* {p) soit entièrement connue. On peut
pour cela se servir d’un cas particulier ; si on fait cû = £ 71, l’ins
pection des valeurs de Y 1 , Y 2 , etc. suffit pour s’assurer que les termes
alternatifs disparaissent, et qu’il reste seulement ceux dans lesquels
m -f- k est pair. On aura dans ce cas , jr = sin 4 cos ( 9 — (p ) ;
faisons de plus x ou cos 4 infini, ce qui est possible analytique-
ment, sin 4 sera pareillement infini et se réduira à (— .r 3 ) 3 ;
donc la valeur de Y’" deviendra (—¿c 9 ) 2 cos m (6 — <p) ;
mais diaprés la formule connue,
2 m —i C0S ™(Q <P ) = COS /72 (6 <p ) -j- 772 COS ( /72 — 2) (0 (p)
+ —7-;-^ COS (/72—4) (0 — <P)-f- etc. ;
le coefficient de cos k ( 0 — <p) dans la valeur développée de
cos m (0 — <p) , est donc
m.m—i.m—3 ( m -4- k) -f- i 1
1.2.3 \ ( m — k) * 2 m—1 3
quantité qui devra être réduite à moitié lorsque k = o, On aura
donc avec cette seule exception ,
1.3.5.. .a m-
1.2.3..
.771
i m.m—i.m—2... I (tti+/î) + 1 (—x*)'-
• — 2 m-i
1.2.3.. ... . . 1(771 k)