268 EXERCICES DE CALCUL INTÉGRAL.
D’un autre côté, L 1 ";* = «"F* (o) F*(x); or en faisant xz= o, et
supposant toujours m~\~k pair , on trouve
m~~k
1.2.3.. . m—k (— i ) 2
2.4.6.. . m~k ’ Qin—i .2m-—3... . tti+/{-}-1'
k
D’un autre côté, en faisant x ~ oo , on a F*(.x) = (—i ) 2 x m *
donc
F*(o)=
T mi k _f 7 I-Q-g- • .m — li
'2.4.6... m—h
Egalant ces deux valeurs de L m >
a
2.
1 .3.5. . .2 m—I
2.4.6... . m-\-k
(— 1 y x m
" 2in—1.2m—3 77i-f-/;+l*
ft , il en résulte le coefficient cherché
2/71—I ,2/71—3. . . 777 —(-/i —f- I
1.2.3 777 — A 5
et cette valeur devra être réduite à moitié lorsque k == o
donne alors
/1.3.5... .2771 1 V
\1.2.3 771/
ce qui
ces formules n’ont lieu , comme nous Favons déjà dit , que lors
que ni -f- k est pair.
i45. Pour avoir la valeur de «"lorsque m -f- k est impair , j’oh-
dY m
serve que si on prend le coefficient différentiel , et qu’on fasse
dans cette fonction cos w = o, tous les termes^où m-\-k est pair
disparaîtront, et il ne restera que les termes où m -f- k est impair.
d\J n k
Faisant ensuite x = 00 , et comparant les deux valeurs de ■ y
il en résultera
2.
1.3.5 2771 1
2.4.6.... 771 li— 1
— 1,2771 3 . . . 771+/i-f-2
1.2.3 771 — k
Les deux valeurs de « r/ paraissent donc de forme différente, selon
que m -f- k est pair ou impair ; mais en les examinant avec plus
d’attention, on trouve qu’elles peuvent être représentées par une
seule et même formule, savoir :
/1.3.5..
Ai.2.3..
2771 A 2 T^.m 1 . . • .771—h-f-1
. . , . 777/ * 771-j- 1 . 771+2 . . . .771+A*