CINQUIÈME PARTIE. § XII. ^85
Le cas de n = ~ qui donne lieu à diverses simplifications , est
celui qui s’applique spécialement au calcul des perturbations des
planètes ; il est susceptible d’être résolu complètement par les
fonctions elliptiques.
165. En effet, si l’on suppose <p = vr— 2^ et c a =
aura D = (i-f-«) 2 (i—c a sin a ^J.) , et les valeurs de P 0 et P
par la formule (1), seront
4u-
on
OHO 2 ’
,, données
1 r 2(1-4
^ J 0 a ) V' (i —c 2 sin 2 40 3
1 Ç 2¿4 cos 0.4
5T J (i-f-a) y/ ( 1 — c 2 sin 2 4) *
or, par les formules de la première Partie, on trouve
(■9)
sF'c
~U+à) 9
(i-f a 2 )F*c— (i-fa^E^
5ra(i -HO
Les fonctions complètes FV, E'c sont rapportées au module c;
mais il conviendra de les exprimer par des fonctions semblables
rapportées au module c°=a, puisqu’on a c = Or par les
formules de la page 88 , première Partie , on a
F’c = (i+c^F'c 0 = 3
E J <? = )E 1 c° — fâ'c = ~—E'a~~ (1—, a)F'a,
valeurs qui, étant substituées dans les formules (19), donnent
plus simplement
(30)
166. Nous rappellerons ici que pour calculer les quantités F 'a,
E'æ, il faut d’abord former la suite décroissante a, a° } a°°, a oc % etc.,
par la même loi que la suite des modules c, c° f c°°, etc. Faisant