CINQUIÈME PARTIE, g Nîî. 28g
pour déterminer toutes les valeurs du coefficient P (A, 1 —-h) , et
par conséquent encore toutes celles du coefficient P (A, dz k— n),
k étant un nombre entier quelconque.
Combinant ce résultat avec celui qu’on a déjà trouvé, on voit que
les deux transcendantes qui servent à former le développement
complet de D — n , suffisent en même temps à former le développe
ment tant de la puissance D~ n±:k que de la puissance D n:±: 4 k étant
un entier quelconque.
Voici maintenant quelques exemples qui serviront à faire voir
plus clairement l’usage de nos formules.
170. Exemple I. Soit a = ~, et soit proposé de développer
les deux puissances D“*, D'A - le tableau suivant donne les valeurs
des coeffîciens successifs ^ jusqu’à ce qu’ils deviennent trop petits
pour entrer dans le 1 o rce ordre de décimales.
A
P(A,I).
0
i.00261 4 T 6og 100
1.02286 6408g 5g8
1
o.oSoiS 86804 678
0.16286 40606 g72
2
0.00676 67286 i43
o.oigoS 27gg2 044
5
5i 68764 871
222 49281 ^4 2
4
2 74676 4g4
26 0209g 79 1
5
24722 960
2 76161 704
6
2266 4°7
29806 826
7
210 461
6192 856
8
jg 762
669 206
9
■ 1864
35 7 58
10
■. '
5 769
Les termes de la seconde colonne ont été calculés parla formule (2),
en faisant 7z = f , et donnant à A les valeurs paires o 2,4 ; b, 8, 10 ;
on en a déduit les termes intermédiaires par la formule de l’art. i58.
5;