CINQUIÈME PARTIE. § XII. 297
(1 —a*y D“ ï =77^^ 3 (M 0 +2M I cos<?> 0 +2M 2 cos2(p 0 -[-2M3COs5ip 0 +etc)
—^~“(L 0 +2L 1 cos(p 0 4-2L a cos2(p 0 -^-2L3Cos3(p 0 +etc.)
■— 5a sin - (p°-j-« 3 sin | <p° j
et ces séries exprimées par l’angle <p°, seront en général beaucoup
plus convergentes que celles qui sont exprimées immédiatement
par l’angle <p.
177. On pourrait ultérieurement réduire le développement de
i_ i_
U * à celui de (D°°) a , dans lequel les coefiîciens décroîtraient
encore plus rapidement, puisque a°° est beaucoup plus petit que«°,
et il serait facile de continuer à volonté ces réductions. On a en
effet les équations successives.
(i— « a )D"*
(D°y
et 9 sin J <p°° -f
2 Ÿ a °
(D 00 )*,
(D“)‘ = — a” sia i <p°°° + (D“°)>,
a•) D“ a ,
etc.
d’où résultent ces valeurs de ( 1
(1—æ 2 ) D _ï == asin|çi 0 a ^ a
(1 —aï) =«sin|(p
sm 7 ®°
2 a r
a\/a° . .
-A—sm^-cp 0
2 \/a°' ü [/'a'
a V/ a°a'
sin | (p a
etc.
2,\/a 0 ’ 2 \/a 00 ’ 2\/a°
(J)0oo^
Mais à cause du décroissement très-rapide de la suite a, a 0
a 00 °, etc., les quantités D°, D°°, D°°°, etc. tendront non moins rapi
dement vers leur limite qui est l’unité; età ce terme, le produit
sera ce que nous aYOns desi g ne P ar K» donc
on aura généralement,
(3o) (1—¿z 2 )D -î -
1
K
1 • j„ n a{/a° . , a{/a°a°
4-rtSinjCp 0 —sm|^> 00 — -
2 * ¿j.
sin|<p a
58
■etc.