CINQUIÈME PARTIE. § XII. 3oS
Or par la différentiation des équations (35) on a ces deux for
mules :
(39)
( !-{-«) ^
/ddPr,
ddP t s
y /i/P,
, dP 0
\da 2
' da a /
)= 2 "Uf
" r ÂT
fddP 0
ddP x N
y /i/P r
dP„
\dd-*
da 2 y
>= 2n Ur
da
f+£)
!Zi.
• • •, i . ddP 0 ddP f -, ,
ainsi on yoit que les termes se déterminent par des
quantités connues, puisqu’on est censé avoir formé la suite des
coefficiens différentiels du premier ordre, avant de passer à ceux
du second ordre.
184. On peut encore simplifier cette détermination et celle des
coefficiens différentiels des ordres supérieurs, par les considéra
tions suivantes. On tire d’abord des équations (5g)
ddP Q
ddP T
dp T
da 2
a da 2
= 3n -as-:
ddP T
îMP q
/dPo
da 2
"¿N
= 2re Ur
d’un autre côté, les équations (55) donnent
dPo dP r , \-n
■&— a *r = ( 2B —OP..
dP
da
a
da
dPo
da
2/zP — it •
2/lt 0 a ,
combinant entr^elles ces quatre équations, on en déduira les deux
équations différentielles suivantes, pour déterminer séparément les
fonctions P 0 et Pu
ddP,
( a —«0 -gsr + [•—(4«+iK]
i/p.
4« a «P 0 =o,
(4°) iJp ¿°
(“-a*) ^+[«-(4«+0« 3 ]-[i+(4»‘-i>*]P. = 0.
De là on voit que le coefficient du second ordre se détermi-
î/P
liera directement par le moyen des deux quantités ~ et P 0 , et
ddP x
que le coefficient se déterminera de même par le moyen de
dP x
da
et P,.