QUATRIÈME PARTIE. SECTION L 63
jusqu’à l’infini. Ainsi il n’y a aucun autre minimum dans le sens
positif.
Da ns le sens négatif, au contraire, il y a un minimum dans chaque
période, ou en général entre x =—к et x =.— к— i, к étant
un entier quelconque. Prouvons, par exemple, qu'il existe un
minimum entre x = — 2 et x= — 3. Lorsqu’on fait x = —2—o>,
ce) étant infiniment petit , la valeur de ^ contient différens termes
dont la somme est finie, et un terme ^ qui est un infini positif.
Lorsqu’ensuite l’on fait x z=z — 3 -f- ¿y , la valeur de contien
dra de môme des termes dont la somme est finie, et un terme
— ~ qui est un infini négatif. Donc entre ces deux extrêmes, il y a
dj/jt
une valeur de nulle; donc il y a un minimum entre x = —2
et x == — 3, conformément à la théorie précédente.
§ VIII. Formules pour calculer par approximation les
fonctions Г.
(71). Nous avons pour cet objet deux formules générales qui
ont été présentées dans les articles 73 et 77 de la deuxième partie,
La première est
\o^Tx — ^l27r-\r{x— i) lx~~x 4“-^
Л J_ , j_
3.4 ’ a; 3 "* 5.6 * a; 5
— etc.
Elle donne pour IT x une valeur d’autant plus approchée que x
est plus grand , et nous avons fait voir dans les articles 70 et 71 ,
quels sont les moyens d’obtenir par cette formule, tel degré d’ap^
proximalion qu'on pourra desirer. Il faut qu’on ait x > 5 pour
que celle formule donne l Tx avec douze décimales exactes, et
alors on devra calculer les sept ou huit premiers termes de la suite
A 1 1.
1.2' x 3.4 ’ x 3
i 4" etc -