QUATRIÈME PARTIE. SECTION I.
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(88). On peut encore, par notre table , trouver les valeurs ap-
£'7 Inc Vn. drt Inc Vn r/Hncr Vn
prochëes des coefficiens différentiels
sont des transcendantes particulières dont nous avons fait voir diffé-
rens usages. Ces coefficiens se calculeront par les formules suivantes,
où l’on a fait log Eæ = A.
ça -j~ = cTA — ^cT a A -f- \ cf 3 A — \ cT 4 A -f- | cT 5 A — etc..
ty est la différence par laquelle on fait croître la racine a pour
former les différences successives ¿TA, J 2 A, J 3 A , etc. On a
où = O.ooi quand on prend dans la table les termes qui se suivent
immédiatement; maison pourrait également faire &j=;o.002, o.oo5,
ou plus , afin de rendre sensible la différence quatrième J 4 A qui
est presque toujours au-dessous d’une unité décimale du douzième
ordre , lorsqu’on prend a> = 0.001.
En se bornant à l'hypothèse u> — 0.001 qui est la plus simple,
puisque la table donne, sur une même ligne, les nombres A, cTA ,
cT 2 A, <f 3 A, on voit que la valeur qui en résultera pour le coefficient
, ne sera approchée que jusqu’à la neuvième décimale h peu près ;
7~j A
celle de ne le sera que jusqu’à la sixième, et celle de
jusqu’à la troisième. Mais c’est déjà un grand avantage d’avoir les
deux premières transcendantes d’une manière si facile et avec un
pareil degré d’approximation.
(89). Soit, par exemple, a— 1.000; les différences données im
médiatement dans la table pour celle valeur de a , sont
JA = 16 o5o 5^4, cr a A = 4°5&20, cT 3 A=—55q ;