SUPPLÉMENT.
*9
formule
A
Ud») COS Câ
[/ (sin 2 » — sin 2 «)
= ~A i + COS a)
De là on peut réciproquement conclure que dans le cas où
£ = — g, 6 étant infiniment petit, (qui donne c* = i — g 2 lang 2 a,
sin 2 ^ = i — fonction H (—sin 2 ^, c, £), doit se réduire à
COS CL
log (i -f- cos cl)
2 £ 2
log(i -f- cos 2 a) ;
et par consequent l’intégrale
A
e^dtp
*
(cos 2 <p -f — sin 2 <p) ^(cos 2 !? 4- s 2 tang 2 et sin 2 <p)
prise entre les limites <p = o, <p = ±'7t — g, se réduit a
cos a log (i +oosa) —^ cos a log(i +cos 2 ct).
Nous remarquerons que, d’après la formule du n° 12^ la même
intégrale, prise depuis <p = o jusqu’à = a pour valeur...
5 /o/ 1 4- COS «4 \
^COSfltofl ), ou
cos et log ( 1 + cos cl) \ COS 3L log ( I C0S 2 ût).
Il n’est pas étonnant que cette seconde valeur soit plus grande que
l’autre, puisque l’intégrale est prise dans une plus grande étendue ;
mais ces deux résultats seraient très-difficiles à vérifier par l’inté
gration directe, et ils méritent par leur singularité et leur diffi
culté, de fixer l’attention des géomètres.
(3o). On peut néanmoins trouver assez facilement la différence
qu’il y a entre les deux formules, à raison de la plus grande exten
sion de l’une d’elles. En effet, pour avoir cette différence, soit
<p = | 7T — ô, on aura à intégrer depuis ô = o jusqu’à 6 = g, la
différentielle
g \lü