164 FONCTIONS ELLIPTIQUES ,
^ fx ^ 6x[/{<p,x) + 0|*V/C<PaaO
(jX ei) [/tf)X ^ÜxÿÇtpi-f) QiXy'(<PzX)
Quant aux coeiîiciens g,, e a ,... , ils doivent être +i ou —i, selon les
différons termes 4^0 4^3 5* • • 4^5 auxquels ils sont affectés, Yoici main
tenant l’analyse qui conduit à la démonstration de ce théorème général.
198. Appelons P(.r) le polynôme en x du degré /a, qui forme le pre
mier membre de l’équation (2), et supposons que x désigne l’une quel
conque des quantités x t , x x , x s ,.,.x^‘ celte supposition donnera
P(x) = o. Soit £ ^ = PTc, la différentielle de l’équation P(jc) = o,
prise tant par rapport à x que par rapport à la variable y y qui entre
dans les coefficiens des fonctions G.r et Q t x, sera
P'x.dx -f- dy — o.
Et puisqu’on a IPx = frxç^— ^xç^x, la différentielle de cette quantité,
par rapport à j, sera
(2<p x xbx.~- — 2<p.xB t xffi dy ;
d y
de sorte qu’on aura
P'xdx = ^ 2<p % x^x i— — 2(p,xQx dy 5
mais, d’un autre côté, comme on suppose Po7 = o, on aura
Qxy/Çç^) = $ y x\/{(p x x) y
e étant dtz 1, ce qui donne
G x<p,x= e^xi/ÇtPtXÇtX) = éQ t x\/((px)y
ô t x<p x x = eôxi/fytXÇtX) = é0 x[/((px);
donc, on a l’équation différentielle
V'x.dx = 2É\Z(tpx) — (U dy,
ou en distinguant par cT les différentielles des fonctions Qx, 9,# , prises
par rapport à y seule,
P 'xdx = 2£{/(q>x) (G^cTG,^ — G.orcTG^).
Multipliant de part et d’autre par t,-{f x . 5?-. —-—, on aura
1 y ((px) P X X et 7