TROISIÈME SUPPLÉMENT. i 7 3
**, on a X = î, V=.,T=I, Z = Vg = i;doncA = -|=i. Donc
enfin l’équation algébrique y = ^ satisfait généralement, pour toute va
leur du nombre impair p, à l’équation différentielle
dx mm dj
V/(i — ar s ). \/(i— — ’
et par conséquent à son intégrale F (k, <p) = /¿F Qi y 4)-
C’est en cela que consiste le principe général de transformation que nous
voulions démontrer.