TROISIÈME SUPPLÉMENT. i 7 5
multiplier
, ?)•
trouver, par
i convient à
i), avec un
ez ensuite, à
AM,M a égal
ngle AM,M a
l’olongé. Du
corde AM,,
:ordes AM,,
ne troisième
•oint M 3 , ce
vp3 servira à
M 4 , qui soit
itra le point
isi indéfini-
i—la—fois ins-
]e polygone
gles succes-
me est A, et
,n F(c, <p)
on voudra ;
; qui n’exige
implitude <p„
nombre en
ne d'analyse
struction de
litude <p a de
ntre D et le
Soit, pour cet effet, AD = i + e et DO = r; puisque l’arc AM,= 2(p,
on a BM, = 7T — 2<p, et l’angle A du triangle rectangle ADO sera égal
à Lrp — <p. donc DO = r = (i -h e) cos <p. D’un autre coté, la corde
AM,= asin cp ; donc 0M,= (i—e) sin <p et tangOM,D= ^^¡•^==7iz^ cot < P*
Suivant notre première construction, l’arc AM,M 3 = ,2<p a , et par con
séquent le reste de la circonférence AM z = 27r— 2<p a , ce qui donne
l’angle AM,D = - — | <p 9 . Mais en faisant A z= $/(i ~ c* sin a (p), on sait
que l’amplitude <p a se détermine par la formule tang j <p a = A tang <p ; on
x — e i — A /i\ 2 cos 9 r
aura donc —7— = A , oue = —— et r= (1 -f- e) cos <p = —— , tor-
mules au moyen desquelles les inconnues e et r se déduisent assez fa
cilement des données c et (p ; et, de cette manière, on évite l’emploi
de l’amplitude <p„.
On voit que les quantités e et r, qui déterminent le centre et le rayon
du petit cercle, ne sont point constantes, et qu’elles varient avec l’am
plitude (p de la fonction qu’on veut multiplier. Il existe seulement entre
ces deux quantités et le module c l’équation r a = (1 -j- c) a — — ; d’où il
suit que e, distance des centres des deux cercles, est toujours plus petite
que le module c° qui suit c dans l’échelle ordinaire, dont l’indice est 2; car
206. Jusqu’ici nous n’avons fait qu’expliquer la construction de la
figure, soit d’après les données et <p 2 , soit d’après les données immé
diates c et (p. Il faut maintenant démontrer que la construction du poly
gone dont AM, et M,M 2 sont les deux premiers côtés, donne effectivement
les points qui répondent aux amplitudes sans cesse croissantes 2(p ü , 2<p 3 ,
2(p 4 , etc., par lesquelles la multiplication de la fonction F (c, cp) peut être
opérée pour un facteur entier quelconque.
Pour rendre la démonstration entièrement générale, nous supposerons
qu’après plusieurs circonvolutions du polygone les deux sommets consé
cutifs M 2 , M 3 représentent les extrémités des arcs 22(p n . Si le po
lygone n’avait pas achevé une révolution pour parvenir du point A au
point M 3 , l’arc AM 3 M 2 serait 27i — 2(p n _, ; si, pour arriver au même
point M 2 , le polygone a fait i révolutions, le même arc AM 3 M a sera
27T [i -j- 0 — 2(p„_ 1 . Dans cette dernière hypothèse, qui s’applique à
tous les cas, l’arc AM 3 sera pareillement 27r(z -f- ï) — 2(p n . Joignez