Full text: Contenant divers supplèmens à la théorie des fonctions elliptiques (Tome Troisième)

ìémm i 
J 
ite distance 
B , pour en 
C f tyn ) } 
s donné la 
aura qu’un 
un rapport 
<p)=-F 'c, 
T ' n 
<p) == 77lF'C 
tnbre entier 
eviendra au 
polygone 
xlrémité B 
»rmée, et il 
ont le rang 
cotés for- 
pas ra 
sera i ni 
ni de la 
inscrites 
m même 
st visible 
qui pas- 
nt h , ab 
lètre AB. 
polygone 
(r— «)•] 
oujours, 
— 21 -f- I 
TROISIÈME SUPPLÉMENT. r 79 
(car la fraction ™ est censée réduite à sa plus simple expression), le poly 
gone qui a pour sommets les extrémités des arcs 2<p,, 2<p a , 2<p 3 .... 2<p„, est 
formé de n cotés qui occupent un nombre — de circonférences. Dans ce 
polygone, il y a toujours un côté moyen qui passe par Pun des points a 
et h, et qui est par conséquent un maximum ou un minimum; ce côté 
moyen est celui qui joint le point M/, extrémité de l’arc 2<p if avec le point 
M j+1 , extrémité de l’arc 2<p i+ ,. 
En effet, le point M x situé d’un côté du diamètre AB, et le point M n _ x 
situé de l’autre côté du diamètre, sont toujours situés sur la même perpen- 
diculaireà ce diamètre, caron a F(c, <p x ) = ”~F l c, F(c, (p n _ x )— 1 ^-——F i c; 
donc F (c, <p x ) -f- F (c, <p„_ x ) — mF’c = ™ F (c, tt) , et par conséquent 
<p x -f- Qn—x = —'P, ou 2<p x + 2(p„_ x = —. 27i. Lette équation exprime que, 
quel que soit x, le point M x et le point M„_ x , qui terminent les arcs 2<p x 
et 2(p„ x , seront toujours situés sur une même perpendiculaire au diamètre 
AB. Soit x — i, on aura n—x— / -f-1 ; donc les deux points M* et M i+I sont 
placés sur un même côté perpendiculaire au diamètre ; et comme ce côté 
doit être tangent au petit cercle dont le rayon est il passera nécessaire 
ment par l’un des points a et b : ce côté sera par conséquent un maximum 
ou un minimum. 
On voit en même temps que les arcs 2<p,. et 2<p f+I , qui déterminent les 
extrémités du côté moyen, peuvent se trouver directement par les équations 
<Pi + <Pi+. = - n, 
<Pi+1— <Pi = 
cù étant l’un des arcs cl et £ ; on aura donc toujours 
m 
— 7T —f— Où. 
2 7 
m 
2<Pi — 
ft). 
D’ailleurs, l’ambiguité qui semble rester dans cette détermination dispa 
raîtra bientôt, en observant que si m est pairement pair, ou de la forme 
4^, l’arc ™ tt , égal à 2^77-, aura son extrémité en A , et qu’ainsi, dans la 
valeur ^7t-{-où de l’arc 2(p i+l? l’indéterminée œ ne peut être que a. Au 
23..
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.