220
FONCTIONS ULTRA-ELLIPTIQUES,
§ YII. Application du théorème général au cas de la fonction
<pæ — i — je 5 j et en supposant ¡x = 5.
245. Dans cette supposition, nous bornons à cinq le nombre des trans
cendantes *^x ou fx formant le premier membre de 1 équation (3).
Parmi ces cinq transcendantes, trois sont censées connues par autant de
valeurs particulières de x prises à volonté, et qui serviront à déterminer
deux autres valeurs de x nécessaires pour compléter le nombre de cinq
transcendantes avec lesquelles se forme le premier membre de l’équa
tion (3); et comme sur les trois valeurs arbitraires de x une, deux et
même trois peuvent être supposées nulles, les calculs que nous allons dé
velopper s’appliquent non-seulement au cas où les fonctions comprises
dans le premier membre de l’équation (3) sont au nombre de cinq, mais
encore à plusieurs de ceux où les fonctions sont au nombre de quatre ,
trois ou même deux seulement.
Cela posé, on sait qu’en faisant m — ty5, le binôme 1 — x 5 est
le produit du facteur simple 1 — x par les deux facteurs doubles
1 -f- x Ç—f—et 1 — JC Ç~2~~ S ) æ *’ on P 0lllTa donc faire
<p t x = (1 — x) (t — x. + OC*) =
, m 4- 1 .
(p a x— ï + x.— \~ x\
1П 4- X . .771 4-1
X . 1 U x % , —
2 1 2
X J
Prenant en même temps Qx = a-{-x et G.x = c -{- c x x, il faudra, pour
la solution de notre problème, satisfaire à l’équation
(17) (c-\~C t x)*(^-\-X. î ~~^r° ciS ) { a - 3 r 3C Y{^ OC.
z=(x — X x ) (x —■ x a ) (x — x 3 ) (x — x 4 ) (x — x 5 ) ,
dans laquelle on remarquera que (a -f- x) a est mis à la place de (a-{~ а х х) л ,
qu’indique la forme générale de Qx, parce que le coefficient de x 5 devant
être le même dans les deux membres, il aurait été nécessaire de faire
(a,) 3 = 1, ce qui permet de prendre a, = 1. Si l’on remarquait que les
signes du premier membre de l’équation précédente sont contraires à
ceux du premier membre de l’équation (2), considérée comme type de
toutes les autres, nous répondrons qu’on peut changer à la fois les signes