2 5 2 FONCTIONS ULTRA-ELLIPTIQUES,
nérale Qxy\(p v x) = feÔ l x\/{(p 9 x) t que Fon trouve art. 198 du deuxième
supplément.
Cette équation se simplifie en observant que et \/((p A x) doivent
toujours être des quantités positives ; de sorte que pour déterminer le
signe de g il suffira d’examiner si -r— est positif ou négatif pour chaque
valeur particulière de x, telle que x — t. Si cette quantité est posi
tive, on aura g == + i , et la fonction 4^ entrera avec le signe -j-
dans la somme 2 (¿^x) ; dans le cas contraire, on aura g =— i, et la
fonction 4^ entrera avec le signe — dans la même somme.
267. Appliquons cette règle aux valeurs successives x = j , — 2 ,
a, —£, considérées dans l’exemple II.
Q x
La quantité , dont le signe détermine celui de *\x, est dans ce cas
a ~ X , suivant l’équation (B) de l’art. 205. Cette quantité est positive
pour les trois premières valeurs mentionnées , et négative pour la va
leur x = — £. Ainsi la fonction 4(— £) devra être prise négative
ment, et les trois autres positivement, dans la somme , laquelle
sera par conséquent
+ ï + +(— 2 ) + 4 ( a ) — 4 (— €) ?
ou, suivant notre notation ordinaire,
4 7 — 4' 3 *d" 4* 4'£.
Cette somme, d’après les valeurs trouvées, se réduit à £ z i c'est
le résultat qu’on obtient ainsi de la manière la plus directe et sans au
cun tâtonnement.
Si l’on change le signe de l’une des quantités A et A', on aura une
seconde solution. Soit donc A — — 0.47801 98448 776; on aura, en
conservant la même valeur de A' et ne poussant l’approximation que
jusqu’à cinq décimales ,
a — — 0.82930, c z=z — 1.27083, c' = — c,
p = — x.i 5566, q — 0.92736;
de là ou voit que p* — ¿¡q est négatif, et qu’ainsi cette seconde solu
tion est imaginaire.
On aurait deux autres solutions du même problème en changeant le