TROISIÈME SUPPLÉMENT.
i) = 4.25235 27665 226
M 0.00010 01221 479
4-25225 26445 747
B 1.79569 53623 81
4/ 2 £ = 2.45655 72819 937
4/ a a o.11833 69888 185
Diff.... 2.55822 02961 754
Maintenant, si de la quantité 4/ a £
on retranche
2.24504 79*85 8
6.72400 71013 3
9.7 1 994 55900 5
4) 88.68900 06099 6
2) = 0.00010 01045 618
3) 178 812
4) 49
M =. O.OOOIO 0122I 4?9•
—4/ a a == 2.35822 02961 784,
/w -f- i = 3.2 36o6 79774 998,
on aura la valeur de la constante.. C = — 0.89784 76818 244*
Cette constante diffère très peu de ^B = 0.89784 76811 905. Ainsi l’on
aura exactement l’équation
*4^ ’4 / \ a ' = 772 -f- I ~ B.
Cette équation est, comme on voit, dans la forme indiquée par la théorie,
et l’on remarque que le terme \ 4/ £, relatif aux fonctions de la première
espèce, est remplacé, pour les fonctions de la seconde espèce, non par le
terme semblable qui est infini, mais par la constante — 1 j B, com
prise dans l 4 'lorsque x est infini.
Exemple II.
283. On a supposé, dans l’art. 202, t = — 1 , et faisant \/(i — t s )
= ■— [/2 , on a trouvé les valeurs
et ensuite les auxiliaires x = a, x = — d’où est résulté l’équa-
tiou des fonctions
4>a — -f- 4' ,t ==: 4* — i 4 ^
Si l’on passe maintenant des fonctions 4^x de la première espèce aux fonc
tions 4'aX de la seconde, cette équation deviendra
4'a ix — 4*^ *4” 4'. 1 “ 4« 1 “f* i ^ 2c i >
35..