TROISIÈME SUPPLÉMENT.
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Soit ensuite x*-}-px-\-q = o l’équation qui a pour racines les deux
autres termes de la suite x l7 x 2 7 x 3 7 x^ 7 et l’on aura, pour déter
miner p et q , l’équation
= (x—t)(x— t') (x a — px-\-q);
(c -f- x) a ^ 1 -J- x. ^- I -f- xÿ
„ / m 4-i . jn -4-i A
¿Z a il X. —~ f- X —~ X 3 J
d’où l’on tire
/, = _ * _ t _ „ _ 2C _ (2L±i),
î = = ~ r-R [/>«' + C«* + c ‘) + “d
L’équation a résoudre pour avoir les deux auxiliaires sera, par con
séquent ,
o = x a + x(^~- -f- ¿z a + 2c + t ■+• t') -f- ^7^,
et, avec les quatre racines ainsi déterminées, on formera le premier
membre de l’équation (3).
290. Le cas le plus simple est celui où l’on suppose nulle l’une des
données t et t'; supposant donc t' =. o, ce qui donne A'=x et az= c,
on n’aura plus que la donnée x = t, qui devra être combinée avec
les deux racines de l’équation
/m + 1 . , \ 2 c / m-f-iN
o = x -f- f- a* -J- 2c -H tj — y (H —c J.
t'
Il faudra d’ailleurs substituer dans cette formule la valeur c = ——, c
a — 1 '
peut se mettre sous cette autre forme :
(29) c =
m -f- 1
— 1 — t.— e ± 1/(1 — t 5 )
m -f- x
+ t*
Avant de donner des exemples de ces formules, il ne sera pas inutile
d’examiner la figure de la courbe représentée par l’équation (29), en re
gardant t comme l’abscisse et c comme l’ordonnée.
291. Celte courbe, tracée fig. 3, n’a point d’asymptote verticale,