TROISIÈME SUPPLÉMENT. 289
fixer la limite des deux portions de zone dans lesquelles la constante du
second membre de l’ëquation (3), a deux valeurs déterminées.
L’équation (2g), rendue entièrement rationnelle, prend la forme
o = c a Q -J- 2cV + Pt,
dans laquelle
P = , +i .!2+_L + t%
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Q = m -f- 1 — t .
— + t\
¿A
Si on la différentie en. regardant c comme constante, on aura une se
conde équation qui, combinée avec la première, produit le résultat
suivant ;
o = (t 6 + H) a — 2Z ( 1 + P a — t 5 ) + ¿ a Z a ,
où l’on a supposé
rj 3m 4- 5
Z = -f- 2?nt
mt % ,
H = m H- 1 -}- t 4~ (m~f- + t 3 .
C’est donc par une équation du huitième degré qu’on déterminera l’abscisse
du point K, où l’ordonnée est un maximum, ainsi que celle du point. E,
où l’ordonnée est un minimum; mais comme il y a en même temps
une autre inconnue à déterminer, on préférera la méthode suivante,
qui paraît exiger de moins longs calculs.
2g3. Soit cl l’abscisse Ak qui répond au point K, et £ l’abscisse А/du
point L, où la courbe est rencontrée par la droite KL, menée parallè
lement à l’axe, l’équation entre c et i étant mise sous la forme
О = t 3 -f- I я Çc* -j- 2C -f-
+ t [— c a . ~~ H- (m — 1) c + 1
+ с л {т + 1) -f- 2c ,
le second membre devra être identique avec le produit
(t — a) a (t ~}- £), ou L 3 + (£ —• 2et) t a 4- (o, a — 2&£)t 4- ,
ce qui donnera les trois équations
/ o . . m 4- 1
1 ь — 1 2 cl — c 4- 2 c 4“
\ 1 2
) \ et* -—2clC = — 4_ (/«4- ï)c 4- 1
[ ct*Ç = c* (m 4- 1) 4“ 2C ‘
Томе III. З7
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