PREMIER SUPPLÉMENT.
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74. Maintenant, il faut différencier l’équation F(Æ, <p) = /aF(&, 4)î en
faisant varier k et h, et regardant <p comme constante, mais non pas 4,
parce que l’expression de sin 4 par sin <p contient les quantités et qui dé
pendent de k , en vertu de l’équation F (k, et m ) = ^ K. Quant au coeffi
cient fJi, on peut le mettre sous la forme ^ ; mais nous le laisserons tel
qu’il est, parce que, dans les applications, il est lié aux modules k et
h par des équations algébriques qui donnent aisément la valeur de
On appliquera d’ailleurs aux fonctions F(Æ, <p), F(/t, 40 la formule gé
nérale de l’article cité, où Pon fait varier seulement le module
* E %r SÎ = Ù.(B-W)
de h 2 c
on aura ainsi l’équation différentielle
c sin <p cos p
h 2 A (c 9 ç) *
i ■p’ / 7 \ i T-i / y \ b sm cos
r- E (*’ *)-p: ■ 7(T^F- S T
+ 4) +
sin a <p)
h sin -vJ/ cos 4
h' 2 ' l/(i—A 2 sin 2 4)
]
p dip
t/(i — h 2 sin a if) * dk
dh
Substituant la valeur de ^ , et tirant de cette équation la valeur de
E(Æ, cp), exprimée par le moyen de E [k, 4) F (J 1 1 4)? on aura
(54) 4)+y,
Y étant une quantité algébrique ainsi composée
-y k 2 sin <p cos <p 1 h 2 sin ^ cos ■vp
+
pkk' 2
dip
V/(i—£ 2 sin 2 <p) pp V/( l — /î 2 sin 2 ip) 1 t/C 1 — /1* sin 2 ip) ' dh‘
j5. Si l’on eût soumis à de semblables opérations la formule du théo
rème II, F (k, 4) = (w/F (k, ¿y), on en aurait tiré le résultat
'k' 2 h' 2 ,,dp
(55)
|E (A, -)= iE(A,+) + ( 7 -i.-W^) F(A. 4) +V',
■yrf k 2 sin a COS a> Il 2 sin'4 cos rp &/j' 2 du
l/C 1 ’—& 2 sin 2 ®) u. ’ V/(i—h 2 sin 2 4) 1/(1 — ¿ 2 sin 2 *0 ' dk'
Il suit de ces deux formules, que p\L{k, cp)— E(Æ, ¿y) est égale à la
quantité algébrique p\ —Y'5 ce qui est conforme à la nature des fonc
tions E (n° 35, tome 1 er ), puisqu’on a, dans le cas présent,