ala HISTOIRE
Cela seroit encore vrai, quand même pour a , b, e, d, &c.
on prendroit des nombres absolument ad arbitrium , comme
l’on voit ci-dessous :
3.
3.
7*
3,
3.
3.
3.
3.
&c.
io.
i3.
16,
19.
22.
&c.
12.
22.
35.
5i.
7°.
&c.
l5.
3 7-
72.
123.
&c.
20.
5 7 .
129.
&c.
23.
80.
&c.
2 5.
On pourroit même encore supposer qu'au lieu d'a, b, c,
d, e, Sic. on eut pris des nombres comme ceux-ci absolument
au hasard, et même quelques-uns d’entr’eux négatifs , comme
3, —5,4? 2-, o, — 3, &c., en ayant attention au signes ré
sultans quelquefois de la soustraction d’un nombre négatif d
positif, ou vice versâ, comme ci-dessous :
un
3. 3.
3. 3.
3.
3. 3.
3.
Si c.
—5. -
—2. 1.
4-
7. 10.
i3.
&c.
4. 2.
3.
7. 14.
24.
Si c.
2.
4.
7T *4-
28.
&c.
0.
4* IL.
2 5.
Sic.
-3. —1.
10.
&c.
5.
4.
Sic.
'
3.
Sic.
Dans tous ces différentes formations de triangles arithmé-
mnération, que la dif-
lont le rang est n, est
tiques, il est encore évident , par leur
férence n me . de la bande horizontale ,
égale à zéro»
D’après ces considérations et quelques autres intermédiaires
qu’il seroit trop long de déduire , M. de Montmort trouve que
si l’on nomme A la différence des deux premiers termes donnés ;
13 la première des secondes différences des trois premiers ; C
la première des troisièmes différences des quatre premiers ; D
la première des quatrièmes différences des cinq premiers , et
ainsi de suite , on aura pour la somme d’un nombre p de
termes , en supposant la suite en question a , b , c , d, e Sac.
©n aura,dis-je,y7«H-A-+* p \ p ~~^ p —y ■------ C<$cc.
d’où il suit que si la suit. pu posée est telle , qu’enfin une de
ces différences devienne zéro, la série ci-dessus se terminer|i