83o HISTOIRE
poudre, &c. avec des observations de Sturm. Ausbourg, 1718
ou 1728, in-fol. en allemand.
Recueil de diverses pièces touchant quelques nouvelles
machines.Papin. Cassel, 1695, z/z-12.
Schmidt ; Description de plusieurs machines d’une utilité
générale , I e * et 2 d recueil. Berlin , 1778 , in-zf. fig.
Prodromo overo saggio di alcune inventioni nuove , pre-
messo 'al aile maestra , opera che prépara il P. Francesco
Fana. Brescia, 1670, in-fol.
Lucubrationes physico - mechanicae Ferdinandi Santanelli.
Venetiis, 1698, in-4 0 .
Desseins artificiaux de toutes sortes de moulins à vent ,
à eau , à cheval et à la main , avec diverses pompes pour
faire monter l’eau , par Jean de Strada de Rosberg 7 publiées
par Octave de Strada. Francfort, 161 fin-fol. it. 1629.
Schapp , Thédtre de moulins, partie mécanique i re partie
avec 5 supplémens Francfort, 1766 , in-f. fig. ( allemand ).
La mécanique appliquée aux arts, aux manufactures, à
l’agriculture , à la guerre, par Berthelot, 2 vol. in-4°. 1778,
avec beaucoup de planches.
Ce recueil de machines ingénieuses et utiles contient des
grues , des moulins, des scies, des affûts de canons, des mou-
vemens à pédales pour différentes machines.Toutes ces inventions
sont de Berthelot, ou du moins ont été perfectionnées par lui.
On trouve dans le deuxième volume la corde deVéra, dont il
a fait comparaison avec d’autres machines. Il s’est occupé sur
tout de ce qui pouvoit être utile aux travaux publics, grandes
routes , ponts , carrières, fortifications , constructions de toutes
espèces.
Recueil de mécaniques relatives à l’agriculture et aux arts,
et description des machines économiques du cit. Person , in-f.
avec 18 planches, 1802. chez Bernard. Nous avons parlé des
charrues, page 775.
Pendule perpétuelle , la manière d’élever l’eau par le moyen
de la poudre à canon et autres nouvelles inventions, par Jean
de Hautefeuille. Paris, 1678.
L’abbé de Hautefeuille , chanoine d’Orléans, étoit un des
hommes les plus féconds en idées neuves et ingénieuses ; mais
on pourroit dire qu’il se hâtoit trop de les publier, dans leur
premier état, pour ainsi dire, brut et grossier. L’idée de sa
pendule perpétuelle, que, probablement il n’exécuta et n’é
prouva jamais, ainsi que sa manière d’employer la poudre à
canon à l’élévation des eaux, invention depuis proposée par
Denis Papin dans les Actes de Leipzig, et diverses autres; son
application du ressort aux montres, qu’il appelle pendule de