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THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
Je dis alors que, si l’on fait tendre z vers zéro et augmenter L
indéfiniment, on a :
lini J(z)
_f_*L.
• » ïW
Pour démontrer ce lemme, posons :
*e dx
4°)
r? tlx
J о 'f {X-j
En vertu de la première hypothèse, l’intégrale a un sens
quand p est infini et l’on peut écrire :
lim ç=00 B (p) = 0 (oc ).
On sait d’autre part que, si F(x) et Ф(х) désignent deux fonc
tions de x continues dans un intervalle a, b, le théorème de la
moyenne donne :
u b r h
I F (x) Ф (x) dx = F (£) / Ф (x) dx avec a < q < b,
«/ a t/a
pourvu que <b garde un signe constant dans l’intervalle a, b.
Appliquons cela a l’intégrale J(z) en remarquant qu’on peut
l’écrire :
J_. , r- f (x,z)
on aura :
t dx
)
ou bien : ».
(1) J (z) = f (5, z) ô(p) + f (5', z) |8 (X) — Q (p)],
avec les inégalités :
0 < ç < p et p < ç' <
Transformons la relation (1), on a :
J (*) = f(Ç, *) в (oo ) H-f (5, *) [в (p) — e («. )]
+ f(?,z) [в (X) — 6 (p)],