I J‘¿
THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
On démontrerait de même les formules :
dV dW
ds du
dV dW
dn ds
Les intégrales (9) peuvent alors s’écrire :
2 t:U' =fjydT — UdW)
2t:T= f (— VdU — TdW),
J[c)
ces deux intégrales curvilignes étant prises dans le sens direct
sens inverse des aiguilles d’une montre). La fonction W n’est
pas uniforme ; mais les autres, U, V, T, sont uniformes et l’on
peut écrire :
f VdT = — Ç TdY
fvdU = — f UdV
on a donc :
2 7ïU' = — f T d V +UdW
2tîT'= f UdV — TdW.
On a d’autre part :
■~ dz , = dV+idW
z — z
et par suite :
/ ,f M 7ZTF=/( u + 1T ) (- dV - iaw)
ou :
f I (z). f— UdV -h TdW — i |*TdV + UdW
= 2 -T' — i. 2 -L T/
= 2ir (U' + iT'J = 2 i~ f (z')