DOUBLES COUCHES
a3g
Remarque. — On peut énoncer les deux propositions sui
vantes tpii sont évidentes :
1° Le produit de deux fonctions qui sont respectivement d’ordre
m et d’ordre n est d’ordre ni-j-n.
2° L’inverse d’une fonction d’ordre 1 n’est pas forcément
d’ordre — 1.
107. On peut énoncer dans ce langage tous les théorèmes
établis (chap. Ill) sur les surfaces attirantes. Par exemple les
inégalités du § 40 montrent que :
t! est cl’ordre 2
1 1 ,, , ,
r r
est d’ordre 0
sont d’ordre 0.
fin général le rapport
(x —x')*(y — y') b (z —y/) c
r"V p
où l’on suppose m -f-p > a -|- h -f- c, est d’ordre
(m p) — (a —|- h -f- c)...
etc.
Considérons maintenant la fonction W envisagée précédem
ment ; elle a pour expression :
w =.Mt—v)* 1 "'-
Calculons-en les dérivées premières et secondes ; pour cela,
calculons d’abord les dérivées de — et de —- . On a :
r r
IL
1
ziiL. D I = i:
r 3 ’ 5 r 1
■y
d 2 -
1
IV—=
r
3(x ;
■Xi
L. i) A 3 ( x/ — x ) {y'—y.
7.3 > n