2/,4
THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
la densité en chaque point x 7 , y 7 est représentée par la l’onction
Nous avons étudié au paragraphe 105 comment se comporte
un pareil potentiel au voisinage de la surface. Reportons-nous
aux résultats de cette étude ; nous voyons (pie lorsque le point M
¿PU'
lranchit la surlace au point M 0 , les dérivées secondes : - - -,
Ox 2
VU 7 (VU 7 0 2 U 7
"tt ) -xt i rr - l'estent continues; les autres éprouvent des
uy uz 2 oxoy
discontinuités. Le saut brusque de - ^ V est égal à
1 Oxôz °
et celui de
(VU 7
ôyOz
Puisque les dérivées secondes de U éprouvent les mêmes dis
continuités que les dérivées secondes de U 7 , on peut donc énoncer
les conclusions suivantes :
Quand un point attiré M franchit une surface attirante en un
O 2 U
point M 0 où la densité est nulle, quatre dérivées secondes, r ,
VU VU VU 7 . 1TT ,
—-— et - ■ , au potentiel U de celte surface restent conti-
Oy 2 ’ ùz 2 OxOy
nues ; les deux autres dérivées secondes
VU (VU ,
des discontinuités ; le saut brusque de la première est
et celui de la seconde —
Remarquons que y 7 est égal à 1 et maximum pour x’ = 0
et y 7 = 0. On a donc au point M 0 :
et
0.