'08 THEORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
sur le contour C, la densité linéaire étant représentée par la
lonction— - ; ce potentiel est une fonction holomorphe au
. . ‘
voisinage de M 0 puisque ce point n’est pas sur le contour C
Le second potentiel
iV
cito' est un potentiel de
surlace, celui qu’engendreraient, des masses attirantes distribuées
sui' S', la densité superficielle étant représentée par la fonction
Y 7 —^77— • Ce potentiel reste continu ainsi que ses dérivées tan-
gentielles quand on franchit la surface.
La somme .lj des deux potentiels précédents reste donc con
tinue ainsi que ses dérivées tangentielles. 11 en résulte, si l’on se
reporte à la formule (3), que
ô 2 U D 2 U
dU
—— et ses dérivées tangentielles
dx n
^ x -» > “ éprouvent respectivement les mêmes discontinuités,
quand on franchit la surface au point M 0 , que l’intégrale
Ltudions donc J 2 . Cette intégrale peut s’écrire :
Posons :
On a évidemment :
do/.
Y
do/.
(U, _ d 2 V
dx dxdz,
ôy òyòz
l.a fonction A est un potentiel de surface attirante, celui qu’en
gendreraient des masses distribuées sur S', la densité étant repré-